Témoignage une conseillère en assurance chez Generali

Le métier de conseiller en assurances décennale ou auto est très loin de la représentation que l'on s'en fait. Il faut oublier l'image du conseiller qui a entre cinquante et cinquante-neuf ans, avec un abattage à faire pâlir d'envie un vendeur de canapé, prêt à bondir sur vous dès vous franchissez la porte de son cabinet. C'est la leçon donnée par le parcours de notre conseillère.
Romy est une jeune femme active, souriante, qui apprécie l'utilité de son travail : « je conseille des gens pour les aider à prendre les meilleurs décisions pour leur protection. » Elle se déplace chez les clients pour répondre à leurs besoins. « Dans le monde d’aujourd’hui, le sujet de la retraite par est compliqué. Mon rôle est faciliter la compréhension des différentes possibilités. »
Pas de routine ici. Chaque client est différent de l'autre, chaque demande est spécifique. Les conseils pour une personne de cadres supérieurs de 46 ans sont bien sûr différents de ceux pour une jeune femme qui enchaine les CDD avec une fille. « Mais chaque cliente est très intéressante, chacune a besoin d'une conseillère sur mesure. » Et un autre univers apparaît quand il s'agit de conseiller des chefs de sociétés. Et heureusement ! Romy ne voulait pas d'un travail routinier sans challenge.
De l'action, il y en a. Il ne faut pas masquer le côté commercial de ce travail. « J'ai des buts à atteindre et la concurrence est vraiment réelle. » Mais cet aspect ne lui pose aucun problème, au contraire. « C'est très motivant et cela nous permet de nous remettre en question chaque jours. » Et la pression dans tout cela ? « Quand on connaît bien le métier, que l'on s'occupe totalement de ses clients, les buts sont souvent atteints. » Le bouche à oreille est ainsi le meilleur outil de prospection pour notre conseillère.
Autre point : l'autonomie. En étant sur la route, notre conseillère organise son métier du temps comme bon lui semble. Elle peut aussi déposer ses enfants à la crèche et les récupérer le soir sans avoir besoin de présenter des justifications. « C'est un vrai bonheur d'avoir cette liberté, c'est une réelle qualité de vie. » Elle passe quand il le faut au cabinet régionale, pour les réunions avec ses collègues et avec son chef. Attention, cette liberté demande un grand sens de la rigueur et des sacrifices aussi. « Certains soirs, je reste chez des clients jusqu'à 21h ou 22h s'il le faut. »
Dernier avantage de ce travail, le solaire. Si vous arrivez à bien conseiller vos clients, à développer votre portefeuille client, à bien servire vos clients existants, vous pourrez gagner très bien votre vie et augmenter votre salaire. « Avec les primes, je gagne plus que dans mon précédent travail, manager d'une équipe de 38 personnes dans la grande distribution. »
Utilité du métier, grande autonomie, nouveaux challenges, très bon salaire... Tels sont les ingrédients qui font le bonheur de Romy notre conseillère. « Je ne regrette jamais mon choix et ai plein de projets pour les prochains années. » Elle veut dorénavant fortement développer sa clientèle de société.